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Au fil des années

Les événements d’ici et d’ailleurs ont ponctué la vie à l’Académie de Lunenburg. Jetez un coup d’œil à certains de ces moments du passé à travers le regard de ceux et de celles qui ont contribué au livre de l’année de l’Académie, The Seagull.

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Ici à Lunenburg

Fondation de Lunenburg. (1753)

« La fondation de Lunenburg découle de la fondation d’Halifax, dans un effort du gouvernement britannique pour prendre effectivement possession de la Nouvelle-Écosse. À cette époque, la concurrence est féroce avec les Français de Louisbourg et de Québec pour gagner le commerce et l’allégeance des Acadiens. »

— Ann-Marie Gray et Vernon Dominix, élèves

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Au Canada et Auilleurs

L’assemblée législative de la Nouvelle-Écosse adopte la loi sur la gratuité scolaire sous le leadership du premier ministre sir Charles Tupper. Partout dans la province, les écoles sont maintenant gratuites et accessibles à tous. 

« Le vote pour notre première académie a eu lieu lors d’une assemblée des contribuables dans l’ancienne salle du mouvement pour la sobriété (Temperance Hall) en 1864. Cette année-là a été remarquable pour deux raisons : la loi sur la gratuité scolaire est adoptée en Nouvelle-Écosse et les pères de la Confédération, dirigés par sir John A. MacDonald, un homme d’État imposant, tiennent leur première assemblée à Charlottetown. »

— D.H. Collins, directeur surveillant 

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À l’Académie

La première Académie est bâtie au centre de la ville.

« La charpente de l’Académie est assemblée en 1865 et, pour cette occasion spéciale, le capitaine de l’artillerie à l’époque, James Dowling, présente le salut royal en tirant une salve de canon. L’Académie est alors un bâtiment en bois d’un étage. Elle compte quatre salles de classe et elle est suffisamment grande pour accueillir environ 200 élèves. La ville s’agrandit et il en ira de même de l’école, mais celle-ci est malheureusement détruite par un incendie le 28 septembre 1893. »

— Dena Bland, élève 

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La Fonderie de Lunenburg ouvre ses portes. Plusieurs années plus tard, on y fabrique une grosse cloche qui servira à appeler les élèves à l’école.

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« La Fonderie de Lunenburg est un très bel exemple d’une entreprise qui a eu du succès dans les Maritimes. En 1891, quand elle en est à ses modestes débuts, sa fonction principale est de fabriquer des poêles. Par la suite, la compagnie construit un atelier d’usinage et devient intimement liée aux ouvrages maritimes, fabriquant des guindeaux pour les bateaux, des palans, des appareils à gouverner, des pièces en laiton et presque tout en matière d’équipement de bateaux. »

— Arthur Eisenhauer, Peggy Keillor et Marion Conrad, élèves